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Israël est témoignage à l'émergence d'un nouveau mouvement coopératif. Dans le cadre des protestations socio-économiques qui se déroulent à travers le pays, plus de gens reconnaissent les coopératives comme une alternative pour régénérer l'économie israélienne.
Les protestations ont commencé en Israël il y a un an en raison de l'augmentation des prix des logements, qui ont ensuite conduit à l'augmentation des prix alimentaires. Bien que l'économie soit de plus en plus, le pouvoir d'achat de la classe moyenne a diminué. Yifat Solel, l'une des partisanes du nouveau mouvement coopératif en Israël, a expliqué pourquoi les coopératives en sont venus à être considérés comme faisant partie d'une solution à la crise socio-économique:
"Après plusieurs décennies de mode capitaliste de la pensée, les coopératives étaient considérées comme n'était plus pertinents. Les protestations ont crée un énorme changement dans la façon dont les gens regardent les choses en raison de la création d'une grande université publique dans les rues.
"Il y a un an que j'ai commencé à donner des conférences et a été invité à des endroits différents pour parler sur les coopératives en général et fournir des idées concrètes sur le démarrage de nouvelles coopératives. La création d'une coopérative est maintenant considérée comme la chose à faire. Récemment, nous avons ouvert un bar coopératif, qui c'est maintenant le meilleur endroit pour être à Tel-Aviv. Même deux députés de l'opposition sont allés à l'ouverture du Bar-Kaima, qui se traduit par «durable»."
Mlle Solel, que est aussi un avocat des droits civiques, essaie de rédiger une nouvelle loi sur les coopératives, qui comprennent les principes coopératifs: "la loi israélienne n'a pas été mis à jour depuis 1933 n'a pas beaucoup changé au fil des ans. Il n’y a pas de valeurs de la coopération au sein de la loi, ce qui signifie que certaines coopératives sont des coopératives en Israël par son nom seulement. Ils ne fonctionnent pas selon les valeurs et principes coopératifs."
Yifat Solel estime que les nouvelles coopératives créées dans la dernière année sont très différentes, parce qu'elles sont fondées sur la justice sociale et la coopération. "La plupart du mouvement syndical ancienne a disparu" a t-elle dit. "Les coopératives anciennes ont été démutualisées. Et beaucoup de gens au sein de quelques-uns qui sont restés dans les coopératives sont sceptiques a ce qui concerne la nouvel mouvement coopératif. Suffit de prouver qu'ils ont tort."
Mlle Solel a également déclaré que les coopératives pourraient être une solution pour résoudre les problèmes socio-économiques, non seulement en Israël mais partout dans le monde: "C'est tout ce que ont peux vraiment faire sans avoir à attendre que les autres le faisaient. Il est très difficile de gagner dans les questions socio-économiques dans les élections. Le public pense que les problèmes sociaux sont importants, mais la plupart de l'arène politique n'est pas intéressé, ou ne les connaissent pas."
Le nouveau mouvement coopératif a commencé comme une initiative entreprise par des personnes d'horizons différents, de travailleurs sociaux à des techniciens de l'informatique des étudiants qui essaient de "transformer les protestations en quelque chose concret grâce aux efforts de coopération."
"La plupart sont jeunes, mais pas seulement. Ils sont très dévoués à la cause, et sont la construction d'un ajout à l'économie et la société. Toutes les initiatives nouvelles publiques sont profondément enracinées dans les principes coopératifs et les statuts de la nouvelle coopérative. Les gens juste vont et commencent à faire les choses, prendre le contrôle de leurs affaires, leurs intérêts, en créant d'un pouvoir civil-économique", a ajouté Mlle Solel.
Le mouvement a beaucoup d'autres nouvelles initiatives et vise à ouvrir plusieurs coopératives de consommateurs, des restaurants et des bars pour les étudiants de coopératives.
Photo (Amit Zinman): Yifat Solel à l'ouverture du Bar-Kaima, Tel Aviv.
